





Nous sommes arrivés à un point de saturation sur le livre et pourtant ce n'est toujours pas ça. Astrid analyse ce qui ne va pas : le projet est parti sur des points de vus trop extérieurs, qui nous sont étrangers et qui, du coup, peinent à être justes. Pourquoi ne pas envisager de faire un tri plus sévère encore et surtout écrire de nouveaux aphorismes qui diraient comment nous la vivons, la fin du collectif ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire